Mis à jour le 19/03/24
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Seigneurs et armoiries

Escaudœuvres a navigué dans de nombreuses mains au cours des siècles. Jusqu'au Xe siècle, on ne peut l'inclure que dans des territoires assez vastes car les noms des différents propriétaires ne nous sont pas parvenus. Ce n'est qu'à partir de l'occupation normande du IXe siècle qu'on peut désigner les seigneurs d'Escaudœuvres, encore qu'à cette époque le village n'était qu'une partie intégrante, un des fiefs, de Ramillies. La liste des différents propriétaires de la seigneurie qui va suivre n'est pas exhaustive, mais elle a été établie à l'aide de divers documents d'archives et de diverses pièces mentionnant certains noms. D'autres ont peut-être disparu ou n'ont pas été répertoriés.

DRAGON de RAMILLIES

Dragon de Ramillies

“D'azur au dragon d'or.”

Cette famille était vassale de l'abbaye de Saint-Géry. Elle avait peut-être reçu ces terres en récompense du comportement de Jean de RAMILLIES face aux Normands qui occupaient Relenghes et Escaudœuvres à cette époque. Le combat qui s'en suivit donna naissance à la légende du dragon. Les seigneurs de RAMILLIES ont dû perdre leurs biens dans la première moitié du Xe siècle quand les comtes de Cambrai, dont le nommé Isaac, dépossèdent les abbayes de leurs propriétés. Le roi de Germanie, Otton Ier, confisque ces biens et les attribue, le 2 mai 947, au chapitre Notre-Dame de Cambrai. Par la suite, plusieurs parcelles seront attribuées à d'autres abbayes, dont celles de Saint-Géry, de Saint-Aubert et du Saint-Sépulcre. Au moment des croisades, diverses terres sont allouées à des seigneurs croisés qui se sont distingués en Terre Sainte.

 

ROUBAIX

Roubaix

“D'hermines au chef de gueules.”

C'est à la fin du XIe siècle que cette famille prend possession de la seigneurie d'Escaudœuvres. Hugues de ROUBAIX, qui se signale par son courage en Terre Sainte sous le commandement de Godefroy de BOUILLON, reçoit, en récompense, les terres du village. Il en fait présent à son troisième fils Robert qui va créer la famille d'ESCAUDŒUVRES en substituant ce nom au sien. Cette façon de faire sera reprise par les derniers seigneurs qui signeront “d'ESCAUDŒUVRES” tous les actes officiels. L'autel du village restait le bien de l'église Notre-Dame de Cambrai, mais la seigneurie devenait indépendante et le seigneur usait de ses droits de haute, moyenne et basse justice comme il l'entendait. Ce fut, peut-être, les descendants de Robert, qui sont mentionnés sous les noms de Robert, Hugues, Jean et Gérard, qui accordèrent les premières franchises qui aboutirent au fil des années à la rédaction de la coutume d'Escaudœuvres. La famille de ROUBAIX tint son séjour au village même jusqu'au début du XIIIe siècle.

 

DENAIN

Denain

“D'or à la croix engrêlée de gueules.”

On ignore le moyen par lequel la seigneurie aboutit dans les mains de la famille de DENAIN. Toujours est-il que l'on retrouve un Gossuin de DENAIN seigneur d'Escaudœuvres en 1219. Ce fut, peut-être, le seul membre de cette famille à occuper la place car, moins de trente ans plus tard, elle ne possède plus la seigneurie.

 

THIANS

Thians

“De sinople semé de billettes d'argent, au lion du même, armé et lampassé de gueules, brochant sur le tout.”

Dès 1253, l'on remarque que le seigneur se nomme Jacques de THIANS. Gérard dit “d'ESCAUDŒUVRES” lui succède. Lors du mariage de sa fille avec Ernoul d'ENGHIEN, il lui fait don de ces terres.

 

ENGHIEN

Enghien

“Gironné d'argent et de sable de dix pièces, le sable chargé de trois croisettes recroisetées au pied fiché d'or.”

Le cinquième fils de Siger d'ENGHIEN, Ernoul Ier, reçoit par la dot de sa femme, fille de Gérard de THIANS, les terres d'Escaudœuvres. Il meurt en 1295 et est enterré dans l'abbaye de Cambron. Son fils Arnoul II lui succède. Il avait épousé Isabeau de DENAIN. Conformément aux volontés de son père, il fait construire une chapelle dans les terrains compris entre les actuelles rues de l'Épinette, de Bouchain et du 11 Novembre. Ce lieu se nomme encore la “Chapelle” sur le cadastre. Il est nommé, le 14 juin 1304, chevalier et maréchal de Hainaut par le comte Jean II d'AVESNES pour maintenir en son nom la garde de l'évêché de Cambrai durant un an. Il était cousin de ce comte par son grand-père, Englebert d'ENGHIEN, qui avait épousé Ide d'AVESNES, fille de Jacques d'AVESNES et oncle de Jean II. Arnoul est nommé en qualité de témoin, le 19 mai 1305, lors du mariage de Guillaume, fils du comte de HAINAUT, avec Jeanne, fille de Charles de VALOIS, frère du roi Philippe le Bel. Il est encore mentionné dans d'autres actes officiels en 1305, 1310 et 1313. Il est présent au siège de Thun en Belgique en 1309. En septembre 1315, il accepte de rendre au comte de HAINAUT toute la justice sur la chaussée de Naves, depuis ce village jusqu'à la porte du Mal (Notre-Dame) à Cambrai en cas de décès sans héritier mâle. Il meurt la même année et est inhumé dans l'abbaye de Cambron où il rejoint son père.

Il laisse un fils, Arnoul III, qui épouse Marguerite dont il n'aura qu'une fille. À sa mort, au début de 1323, et conformément à l'accord reçu d'Ernoul III, le comte de HAINAUT reçoit la justice sur la route de Naves. Il réussit également à substituer la seigneurie d'Escaudœuvres au Cambrésis grâce à Jean de FOSSEUX, tuteur de la fille d'Arnoul III, qui accepte de lui céder les terres dont il put entrer en jouissance en 1328, après la disparition de Marguerite de CANTAING et de sa fille.

 

BOUSSOY

Boussoy

“D'azur à la croix ancrée d'argent.”

De retour d'Angleterre, Jean, dit “Sansé”, seigneur de BOUSSOY, qui avait pris part à l'expédition pour le rétablissement de la reine Isabelle de VALOIS et de son fils, le futur Édouard III, reçoit la seigneurie d'Escaudœuvres des mains du comte, le 18 décembre 1327. Il dut rendre ces terres l'année suivante, sur plainte de l'évêque, au comte de HAINAUT qui va y installer, à vie, deux chanoines, Adam de DENAIN et Jacques de MAUBEUGE. Le premier continuera seul à gérer la seigneurie jusqu'en 1346, après la disparition du second vers 1340. Durant cette période, la garde du château fut confiée à des châtelains. Le plus important fut sans doute Gérard de SASSEGNIES qui gouverna la forteresse lors du siège de 1340.

 

HAINAUT

Hainaut

“Écartelé : aux 1 et 4, d'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules (qui est de Flandre) ; aux 2 et 3, d'or au lion de gueules, armé et lampassé d'azur (qui est de Hollande).”

Les comtes de HAINAUT, suzerains de la seigneurie d'Escaudœuvres, se succédèrent. Après Guillaume Ier d'AVESNES de 1323 à 1329, Guillaume II d'OSTREVENT, son fils (1339 à 1345), la seigneurie passa à Marguerite de HAINAUT, épouse de Louis de BAVIÈRE qui en fit don la même année à sa sœur Isabelle d'AVESNES. Le village revint, après sa mort en 1359, à Albert ou Aubert de BAVIÈRE, régent du HAINAUT à la place de Guillaume III qui, dément, était enfermé au Quesnoy. Il y met un châtelain qui prend le nom de Gérard Viellars d'ESCAUDŒUVRES. Le 11 avril 1385, la seigneurie est attribuée au fils d'Aubert de BAVIÈRE, Guillaume IV, qui vient d'épouser en secondes noces Marguerite de BOURGOGNE. En 1389, Guillaume III meurt et Aubert de BAVIÈRE devient comte de HAINAUT. Il remet les terres d'Escaudœuvres aux mains d'un de ses fils bâtard, Louis. Ce dernier s'installe au château avec sa femme, Aliénor de FLOYON.

Aubert de BAVIÈRE meurt en 1404 et son fils Guillaume IV en 1417. Le Hainaut revient alors à Jacqueline de BAVIÈRE sa petite-fille. Elle va mener une lutte désespérée contre le duc de BOURGOGNE de 1423 à 1426 et sera dans l'obligation de céder ses terres à Philippe le Bon, faute d'héritiers. La seigneurie d'Escaudœuvres sera, en 1427, retirée des mains de Louis, bâtard de HAINAUT, qui avait pris parti pour Jacqueline. La comtesse déchue tente de regagner ses biens en épousant secrètement Francon de BORSELLE en 1432. Mais le duc de BOURGOGNE le fait arrêter et ne le rend à Jacqueline qu'après qu'elle eut confirmé l'abandon de tous ses biens. Escaudœuvres, qu'elle avait allouée en 1432 au chambellan du duc, Jean de ROUBAIX, resta néanmoins aux mains de son nouveau propriétaire.

 

ROUBAIX

Roubaix

“D'hermines au chef de gueules.”

Jean de ROUBAIX, apanagé des terres d'Escaudœuvres le 6 novembre 1432 par Jacqueline de BAVIÈRE, vit ses biens confirmés le 29 avril 1434 par Philippe le Bon, duc de BOURGOGNE, nouveau possesseur du Hainaut depuis 1433. Jean de ROUBAIX, âgé à ce moment de 63 ans, avait épousé Agnès de LANNOY dont il avait eu deux enfants : Jeanne de ROUBAIX qui épousa Antoine de CROŸ et Jean de ROUBAIX qui lui succéda. Il meurt le 7 juin 1449 et est enterré dans l'église de Saint-Martin de Roubaix.

Pierre de ROUBAIX, né à Herzelles le 1er août 1415, succède à son père en 1449. Il fait le pèlerinage à Jérusalem et participe à toutes les campagnes des ducs de BOURGOGNE Philippe le Bon et Charles le Téméraire. De sa femme, Marguerite de GHISTELLES, dame de BREUCQ et de WASQUEHAL, il n'a qu'une fille nommée Isabeau qui devint dame d'ESCAUDŒUVRES. Pierre de ROUBAIX meurt le 7 juin 1498.

Née en 1434, Isabeau de ROUBAIX épousa en 1473 le dernier fils du comte de SAINT-POL et de Marguerite de BAUX, Jacques de LUXEMBOURG. À cette occasion, son père lui fait don de la seigneurie d'Escaudœuvres. Jacques de LUXEMBOURG, nommé bienveillant des comptes de la ville de Cambrai en 1465 par Charles le Téméraire, meurt en 1487. Sa femme vend la seigneurie à l'évêque de Cambrai Henri de BERGHES en 1488.

 

BERGHES

Berghes

“Écartelé : aux 1 et 4, d'or à trois lions d'azur ; aux 2 et 3, de sinople à trois macles d'argent 2 et 1, au chef d'or chargé de trois pals de gueules et au franc-quartier de sable au lion d'or.”

Henry de BERGHES, chancelier de la Toison d'Or, succéda à Jean de BOURGOGNE à l'évêché de Cambrai en 1480. Il était parent par alliance à la famille de ROUBAIX. Il réussit à rétablir la neutralité de Cambrai le 23 octobre 1482. Il fit le voyage en Terre Sainte en 1487. La seigneurie d'Escaudœuvres lui revint en 1488. Il mourut à son retour d'Espagne, le 7 octobre 1502, au Cateau.

La seigneurie échoit alors à l'un de ses cousins, Antoine, sire de BERGHES, comte WALHAIN, chevalier de la Toison d'Or.

 

CROŸ

Croy

“Écartelé : aux 1 et 4, d'argent à trois fasces de gueules ; aux 2 et 3, d'argent à trois doloires de gueules, les deux du chef adossées ; au chef d'or à l'aigle impériale bicéphale éployée de sable, becquée, membrée et languée de gueules, chargée sur la poitrine d'un lambel à trois pendants du même.”

Robert de CROŸ, fils d'Henri, comte de PORCIEN et de Charlotte de CHATEAUBRIAND, succéda à son frère à l'archevêché de Cambrai en 1519, mais ne s'installa que le 13 juin 1529. En 1536, la ville de Cambrai, pour le remercier de ses bienfaits, lui accorde une somme d'argent qui lui permet d'acquérir d'Antoine de BERGHES la seigneurie d'Escaudœuvres. Il fut témoin de la Paix des Dames du 5 août 1529, de la construction de la citadelle en 1543 et participa au concile de Trente en 1546 et au synode diocésain de 1550. Il mourut le 31 août 1556. La seigneurie d'Escaudœuvres revint à l'un de ses neveux, Olivier de CROŸ, qui en fit don le 3 avril 1559 à sa sœur Françoise de CROŸ qui venait d'épouser Gilles de RUCLIN. Ils la gardent jusqu'à leur mort vers 1574. La garde du château revint à cette époque à Jean de PALMA, capitaine aux armées de Flandres pour le compte de Philippe II d'ESPAGNE. En 1578, la seigneurie revint à la famille de BERGHES.

 

WITHEM

Withem

“De sable au lion d'or, armé et lampassé de gueules, à la cotice d'argent.”

Jean de WITHEM, marquis de BERGHES op ZOOM, reçoit, lors de son mariage en 1578 avec Marguerite de MÉRODE, les terres et seigneurie d'Escaudœuvres. Il meurt à Braine-l'Alleu en 1588 et laisse une fille qui hérite.

Marie Mansicq de WITHEM n'a que huit ans quand son père décède. Elle fut sous la tutelle de sa tante Jeanne de WITHEM, jusqu'à son mariage avec Herman, comte de BERGHES en ZUYTPHEN, chevalier de la Toison d'Or. Elle mourut veuve le 28 juillet 1613, laissant une fille nommée Marie Élisabeth qui devint dame d'ESCAUDŒUVRES après avoir fait le relief des terres le 18 juillet 1614 par les soins de son oncle Henri de BERGHES à cause de son bas âge. Elle ne dut apparemment pas vivre longtemps, car ce fut sa parente, dame Ernestine de WITHEM de BERGHES, qui vendit la seigneurie en 1622.

 

VILLAVICENCIO

Villavicencio

“De sinople à trois fasces d'hermines.”

Le 12 novembre 1622, le chevalier espagnol Dom Laurencio de VILLAVICENCIO, issu d'une des plus grandes familles d'Espagne et originaire de Xérès de la Frontera en Andalousie, achète de dame Ernestine de WITHEM, épouse du baron de BEAUVOIS, François de CUSANCE, les terres d'Escaudœuvres pour 38 000 florins. Il y installe sa femme, Anne de VOODT en douairière. Il est lieutenant du maître de camp général de sa Majesté à Cambrai. Il meurt le 17 février 1637, à l'âge de 80 ans. Sa femme fait le relief de la seigneurie le 20 mai 1637 et la tient jusqu'à sa mort en 1641.

La seigneurie revient, à ce moment, à son fils Dom Ambrosio qui en fait le relief le 4 octobre 1641 et se déshérite immédiatement au profit de sa femme, Marguerite ROUSSEAU, qui devient dame d'ESCAUDŒUVRES. Dom Ambrosio meurt le 18 juin 1650 et est enterré dans le chœur de l'église d'Escaudœuvres.

Son fils, Dominique François de VILLAVICENCIO, qui n'a qu'un an, hérite de son père, mais c'est sa mère qui en fait le relief le 2 juin 1651. Dominique François était né le 4 juillet 1650. Il épousa le 22 mai 1674 Marie Alexandrine LEFEBVRE, dite de BIERBAIS, fille de Gabriel et de Marguerite RÉNIER. Il fut commis du conseil des finances en 1675 et garde ses biens lors de la conquête française de 1677. Son attachement à la France à partir de cette date sera tel qu'il sera anobli l'année même de sa mort en 1696. Il eut un garçon Michel Rémy, qui lui succède, et quatre filles. Michel Rémy était né à Bruxelles le 1er octobre 1676. Il est le premier à porter le titre d'écuyer. Il épouse, le 25 janvier 1710 à Cambrai, Marie Joseph de FRANCQUEVILLE, fille de Robert et Jacqueline FASSE. Ils eurent deux garçons et deux filles. L'aîné, Michel Joseph, lui succéda à sa mort dans le village, le 3 mars 1732. Le second était mort à l'âge de sept ans.

Michel Joseph de VILLAVICENCIO, écuyer, seigneur d'ESCAUDŒUVRES, est né dans ce village le 13 avril 1716. Il épouse, à Cambrai, le 10 juin 1737, Catherine de LIGNIÈRES de Caudry. Ils eurent quinze enfants. Michel Joseph est mort à Escaudœuvres le 24 mars 1785.

Après sa mort, deux de ses fils vont se partager les terres de la seigneurie d'Escaudœuvres et d'Eswars. Michel Joseph, l'aîné, écuyer, seigneur d'Escaudœuvres, est né à Cambrai le 17 février 1738. Lieutenant au bataillon de la garnison du Hainaut, puis capitaine au régiment de Poitou, chevalier de Saint-Louis et député de la noblesse des états du Cambrésis, il se marie le 2 janvier 1774 avec Marie Charlotte PETITPAS, fille d'Hyppolite, seigneur de WALLE et de Jeanne Françoise BOURDAN. Émigré en 1793, il meurt, sans postérité, le 15 décembre 1819, à Cambrai où il était rentré après son amnistie de 1802. Dominique Joseph, douzième enfant de Michel Joseph, né le 9 février 1753, reçoit les mêmes titres que son frère : écuyer, seigneur d'ESCAUDŒUVRES, mais en plus, il est maître des terres d'Haucourt et d'Eswars. D'abord capitaine au régiment de Bresse Infanterie, chevalier de Saint-Louis, lieutenant des maréchaux de France à Bouchain, il reçoit les terres d'Haucourt par son mariage avec Anne de RIEUX. Veuf, il se remarie à Paillencourt, le 7 févier 1791, avec Julie Louise de THIEFFRYES, fille de Louis, seigneur de LAYENS et Catherine de ZÉRABLE, dont il reçoit les terres d'Eswars. En 1793, sur le point d'être arrêté, il est sauvé par la municipalité d'Eswars et émigre à l'étranger. Il revient en 1803 à Cambrai où il meurt le 19 juillet 1818.

 
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